C'est la fête votive du village. La plus grosse du canton et même au-delà. Au milieu de la foule dansante et tonitruante qui emplie la place, je me dirige à nouveau vers la baraque qui englouti mon argent de poche.
L'aimerait bien regretter. Pas le temps, juste survivre, montrer les dents. Se poser, réfléchir, voudrait tant. mais tourner, regarder, épier les clans.
Fer contre fer, murs en béton rien à faire, tourner en rond.
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